QUELLE POLITIQUE POSSIBLE FACE A L’ETAT SANS PEUPLE ?
1°) FAIRE FACE :
De plus en plus de personnes, en leur nom propre, à partir d’eux-mêmes, et ne s’autorisant que de leur propre décision et choix, décident de FAIRE FACE. Faire face aux politiques de l’Etat et du gouvernement qui piétinent des gens, les droits, la dignité. Que ce soit en direction des réfugiés, des mineurs isolés, que ce soit dans des situations complexes des quartiers populaires où des habitants, face au mépris dont ils sont (...)
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Les Rencontres pour penser l’Aujourd’hui
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QUELLE POLITIQUE POSSIBLE FACE A L’ETAT SANS PEUPLE ?
8 janvier 2018 -
Choix, décisions, responsabilité de chacun : des clés pour ouvrir à de nouveaux possibles .
13 novembre 2017A partir de 3 points d’actualité et de quelques propositions, nous invitons tous ceux qui tentent de penser et d’agir du point d’un « pour tous », à réfléchir à ce qui peut être novateur et possible dans la situation politique actuelle qu’on peut qualifier de sombre et difficile.
Les points d’actualité : 1) Ce qui se passe en Catalogne : les habitants de Catalogne sont convoqués à prendre position pour ou contre l’indépendance. Ce sont deux instances étatiques, différentes et concurrentes, qui (...) -
CHERCHER UNE NOUVELLE REPRÉSENTATION OU SE PRÉSENTER SOI-MÊME ?
6 octobre 20171°) Avec les élections qui ont eu lieu, beaucoup avaient prédit la fin du système représentatif actuel, car à bout de souffle, vieux, incapable de se renouveler etc... Ce qui a eu lieu démontre exactement l’inverse : le parlementarisme n’est pas mort, et il peut même prétendre offrir l’image d’une « rénovation », d’une « régénération », les partis de droite, de gauche ou d’extrême-droite étant obligés de se redéfinir. L’arrivée de « jeunes » et de « nouvelles têtes », est aussi présentée comme preuve de (...)
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Peut-il y avoir du nouveau pour une politique du côté des gens, un possible au présent ? Ou est-on prisonnier de la répétition, donc de l’impuissance ?
5 juin 20171) Que montrent l’élection présidentielle et la campagne pour les législatives ? Tout d’abord que l’écroulement des partis dits traditionnels ou historiques, marque la fin de la représentation et de la dualité parlementaires en terme droite/gauche ; le leurre Mélenchon n’étant que la dernière tentative de faire croire que tout peut recommencer « comme avant », en terrain connu, avec un « chef de gauche » contre un « chef de droite », chacun représentant « son peuple ».
Ensuite, même si le parti de la (...) -
DE L’AIR ! Rencontre le 21 avril, 18h
26 mars 2017DE L’AIR !
AFIN DE FAIRE VIVRE UN PEU D’EGALITE, DE LIBERTE, DE FRATERNITE,
C’EST A DIRE TOUT CE QUE LES ELECTIONS NE PERMETTENT PAS,
TOUT CE QU’ELLES VEULENT NOUS INTERDIRE !
1°) Etat d’urgence permanent, politique sécuritaire solidement installée, chasse aux réfugiés et aux mineurs isolés, persécutions policières à l’encontre de la jeunesse, pouvoirs administratifs accrus contre le pouvoir judiciaire, destruction du code du travail et des droits des gens en général, guerres soutenues à (...) -
TRUMP COMME RÉVÉLATEUR DE LA NATURE DES ÉLECTIONS
21 novembre 2016RENCONTRE LE JEUDI 8 DECEMBRE, 18H30
Nous proposons quelques points pour ouvrir aux débats :
1) Et si l’élection de Trump nous disait la vérité sur la nature des élections ?
Ce que nous voyons se mettre en place dans plusieurs pays c’est que la politique d’un Etat, donc son rapport aux gens, peut changer profondément sans que le mode de représentation qu’est le parlementarisme et le vote en soient affectés et interrogés. Le rôle du vote aujourd’hui n’est-il pas d’assurer une transition « (...) -
RENCONTRE LE JEUDI 14 Avril : En refusant la loi El Khomri, de quoi parle-t-on ? Du droit des gens, de tous les gens du pays ? ou d’autre chose ?
28 mars 20161) Tout d’abord, il est évident que la fameuse « réforme du droit du travail » est injuste et méprisante pour les gens qui passent leur vie à travailler, souvent durement. Elle ne vise qu’à précariser et à mettre les ouvriers et les employés dans la main des patrons et des petits chefs. Cette loi organise et justifie l’abandon de droits importants et la casse des conditions de travail nécessaires à une vie correcte.
2) On ne peut pas parler des droits aujourd’hui sans préciser si c’est des droits pour (...) -
Face à l’Etat en guerre, Etre capables d’une politique de paix
25 février 20161- Alors, nous y sommes ? Il n’y aurait plus de politique de paix possible dans la séquence historique actuelle ?
A écouter Hollande et Valls, ce serait le cas : la seule politique possible serait celle de la guerre, guerre sans fin telle qu’annoncée par Valls à la jeunesse (« préparez vous à vivre longtemps avec cette situation »). Ce qu’ils nous disent, c’est que du point de l’Etat, il est hors de question de s’interroger sur la pertinence ou non des guerres dans lesquelles la France a été ou est (...) -
Qu’est-ce qui se met en place, du point de l’Etat, que nous ne comprenons pas encore ?
10 janvier 2016Partis éclatés, guerres, tensions civiles : Qu’est-ce qui est en jeu ? Nous proposons quelques points de départ pour en débattre :
Le champ parlementaire, tel que nous le connaissons depuis le milieu du XX° siècle, est en ruine ;
Cette crise, ou plutôt cet éclatement/restructuration des partis, est le produit de la décision, interne à l’Etat, de poursuivre sa transformation en profondeur.
Dans cette mutation il n’y a plus aucun rapport positif de l’Etat vis à vis des gens, de la population. Il n’y a (...) -
A propos des meurtres de masse perpétrés à Paris la nuit du 13 au 14 Novembre.
15 novembre 2015Oui, la France est en guerre car l’Etat, par le biais de ses gouvernements successifs, l’a décidé.
Non, les derniers meurtres de masse à Paris ne sont pas une attaque « des valeurs de la France ». Ou alors la destruction de l’avion Russe est une attaque des valeurs de Poutine ? L’explosion de Beyrouth est une attaque des valeurs du Hezbollah ? Non, là, tout le monde est d’accord pour dire qu’il s’agit de représailles contre les attaques des armée Russes et du Hezbollah contre Daech
Non, il ne s’agit (...)